Livre business : Stratégies Concrètes de Dépassement de Soi pour Développer Son Entreprise #568

Auto-reproches, aléas de motivation et d’énergie, ventes en bernes… Quelles sont les raisons qui t’empêchent de développer tes ventes ? Explorons ensemble les schémas limitants et les tactiques de développement personnels, le mindset gagnant pour (re)devenir cet entrepreneur-e enthousiaste, énergique pour une entreprise tonique et prospère.

Guide intégral : La Psychologie de l’entrepreneur, les mécanismes cachés de l’échec et de la réussite
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Libère ton potentiel caché :Décrypte les mécanismes saboteurs qui menacent potentiellement ton entreprise, tes relations et ta joie. Transforme les obstacles en super pouvoirs pour une croissance passionnée, une vente éthique et un épanouissement infini.

2 ÉPISODEs DE LA MÊME SÉRIE WEB La Psychologie de l'Entrepreneur : Déjouer les Mécanismes Cachés de l'Echecs :

Réussite Entrepreneuriale : les 9 Facteurs de Réussites à s’Approprier #569

Point clefs de ce podcast:

  • Plafonnement en affaires : pourquoi ton succès stagne-t-il?
  • Le temps s’écoule mais pas ta croissance : que faire?
  • Les pièges psychologiques bloquant les ventes de ton entreprise
  • La recette pour un business pérenne et florissant

Tu peux télécharger gratuitement le livre développer son business : La Psychologie de l’Entrepreneur : Les Mécanismes Cachés de l’Echecs et de la Réussite

Tu te sens bloqué dans ton business ?

[0:01] Te voilà avec un business qui te passionne, mais …. tu as l’impression de t’enliser. Le plafond de verre du chiffre d’affaires et du volume client semble implacable. L’horloge tourne, et la liberté semble une chimère toujours hors de portée. Tu penses peut être que le business n’est pas ta première nature donc tu penses ne pas avoir de solution ; Tu penses peut être que tu n’es qu’à seulement 2 doigts de tout résoudre… mais sans jamais y parvenir ; Les difficultés s’empiles… Parfois on se s’en dépasser par les avancées technologiques, la concurrence, l’âge, la famille…

Est-ce que tous ces événements “négatifs” sont vraiment la signature de la fin ?

La bonne nouvelle : déchiffrer les aléas que nous subissons !

[1:09] Pas de fatalité : il y existe des clés pour déchiffrer ces énigmes entrepreneuriales et propulser ton affaire. Il s’agit de devenir attentif à des micro-signaux qui te donnent des indicateurs d’énergie, de focus, de clarté. Au plus je suis conscient, au plus je peux ajuster mon approche, mes réflexions entrepreneuriales et mes décisions d’affaires. C’est exactement mon désir de transmission dans ce livre et dans mon travail d’accompagnement des entrepreneurs : te fournir un mode d’emploi

Un livre business pour changer ta vision

[1:53] J’aurais aimé avoir ce livre il y 17 ans, quand j’ai ouvert mon premier commerce de proximité dans le Gard, un commerce de vente et dépannage informatique. À l’époque, j’avais 20 ans et je ne comprenais rien à mes réactions, aléas de motivation et surtout, pourquoi je ne parvenais pas à dépasser des plafonds de chiffre d’affaires.

Bien de l’eau à couler sous les ponts ! Aujourd’hui, après de nombreux business créés, d’échecs, et surtout depuis l’ouverture de l’accélérateur Business Temple, j’ai pu observer les mécanismes récurrents. Je te les partages ; les décodes et proposes un riche ensemble de processus de réflexions, d’auto-analyses et des exercices pour les contourner, les dépasser et te réinventer.

Le livre est encore en cours de rédaction (clique ici pour le télécharger), c’est la raison pour laquelle il est en libre téléchargement. En contrepartie, je te demande de bien vouloir me proposer tes retours, témoignage, suggestions, questions, incompréhensions, etc. Partage ton vécu, tes apprentissages et tes désirs d’accompagnement. Cela m’aide à l’améliorer.

Des statistiques entrepreneuriales pour t’ouvrir les yeux

[3:08] Voici quelques données du terrain un peu folles….

  • Savais-tu que 27,5% des entrepreneurs sont cantonnés sous le seuil des 25 000€ de chiffre d’affaires annuel ?
  • Ou que près de la moitié des entrepreneurs se sentent à bout de souffre, épuisé et en panne d’énergie ?
  • 85,5% des entrepreneurs n’ont pas une trésorerie suffisante ;
  • 2 tiers des entrepreneurs présentent un projet fantastique, avec un potentiel de CA de 50k€ réel… mais échoueront ;
  • La plupart des entrepreneurs développent un sentiment d’incompétence, de doute, de déception personnelle ou d’insécurité !

Ces chiffres sont alarmants, mais ils ne seront PLUS les tiens :).

Main dans la main, mon rôle de mentor business pour toi

[2:30] En tant que mentor et fondateur de l’accélérateur Business Temple en 2014, je te partage mon expérience personnelle, entrepreneuriale et d’accompagnant business – mes années à épauler plus de 1100 entrepreneurs et livrer 8000 heures d’accompagnement vont éclairer ton chemin. Je suis un passionné : j’ai pris note de milliers de sessions d’échanges avec mes entrepreneurs. J’en ai fait une étude de 2017 à 2022, pour en extraire des données clefs, les business models, les modèles de développement clients…. Puis j’ai modélisé les facteurs principaux d’échecs, de réussites et surtout.

Plus ahurissant encore, j’ai découvert 12 schémas limitants, récurants et observés dans tous les projets qui stagnent. Je te décrypte comment les reconnaître et l’approche pour les désamorcer.

En voici un aperçu de ces schémas :

  • La peur de manquer,
  • Rester enfermer dans son mental,
  • Idéaliser la réussite des autres,
  • Réinventer la roue,
  • Penser devoir être bon en vente,
  • J’ai perdu mon feu sacré,
  • Je ne gagne pas plus d’argent malgré mes efforts,
  • Je préfère travailler seul(e) car je ne trouve personne à la hauteur…

(Partie 2 du livre, Constater l’existant, page 41)

Passer des schémas limitants aux schémas aidants

[4:52] Faire un constat, c’est nécessaire – un problème verbalisé est un problème à moitié résolu. C’est encore plus puissant quand tu trouves des approches et des pistes pour solutionner ta situation.

Décodons ensemble :

  • Les 9 facteurs de réussite qui permet de développer un projet,
  • Transformer la peurs en ressource
  • Apprendre à poser les bonnes questions,
  • Renforcer sa stabilité émotionnelle,
  • Développer la clarté de ses talents, un focus et une clarté inébranlable,
  • S’entrainer à réussir.

[6:20] Métaphoriquement, je t’enseigne comment quérir plus de joie dans ton entreprise. Renforcer ce qui te donne des ailes. Et non, il n’y a pas de recette magique, juste une exploration humaine vers l’authenticité de ta vision d’entrepreneur.

Agis : le mindset business pour passer à l’action

[7:44] La dernière étape c’est toi. Armé de ces connaissances, tu vas concocter ta propre recette entrepreneuriale. Le succès, la réussite c’est propre à chacun, c’est personnel.

J’attends avec hâte ton retour d’expérience du livre !

Ta réussite commence aujourd’hui !

Transcription du podcast

[00:00:34] Hello, je te propose aujourd'hui d'aborder un sujet fort que je trouve vraiment très important, c'est pourquoi notre manière d'entreprendre est-elle obsolète. C'est un sujet flagrant que je retrouve chez de nombreuses entrepreneurs, c'est que notre manière d'aborder les questions majeures de nos entreprises sont vraiment source de souffrance. Beaucoup d'entrepreneurs souffrent et ont des difficultés majeures dans leur approche entrepreneuriale sans vraiment comprendre pourquoi. [00:01:11] En fait, on a une approche des pratiques de business, une manière de construire nos pensées, nos décisions, qui appartiennent au 19e siècle versus une approche beaucoup plus moderne, tempérée, qui appartiendrait donc au 21e siècle, siècle dans lequel nous sommes. Et je te propose d'évoquer ensemble 5 points qui sont liés à la manière d'entreprendre, quelle est la différence entre 19e et 29e siècle, les injonctions sociales, les mythes entrepreneuriaux et un élément qui est une erreur aussi récurrente qui intervient à des entrepreneurs, que nous apprenons malgré tout à l'école, mais qui est complètement fausse. [00:01:42] Donc, c'est un sujet passionnant sur lequel vraiment, que j'étudie depuis de nombreuses années. Je vais me présenter brièvement. Je suis Levesque David, Business Mentor, le fondateur de l'accélérateur Business Temple. J'exerce depuis 2014. Et donc, si tu veux, aujourd'hui, j'ai plus de 8000 heures d'accompagnement, abordé plusieurs milliers de projets. Et notamment, j'en ai écrit un livre qui est encore en cours de rédaction, que tu peux télécharger d'ailleurs, qui s'appelle « La psychologie de l'entrepreneur, les mécanismes cachés de l'échec et de la réussite ». [00:02:23] Et tout ça, ça démarre sur un constat, parce que je l'ai étudié plus de 2334 projets. Et en gros, qu'est-ce qui fait qu'ils ont réussi, pas réussi, etc. J'ai des milliers de notes suite à mes sessions d'accompagnement. Tout est noté, tout est organisé de telle manière à pouvoir consolider une formation entrepreneuriale. Et j'en ai déduit un ensemble de facteurs clés. Et donc, tu peux télécharger d'ailleurs ce livre sur le site web business-tempel.co.au Tu as le lien sous la vidéo en fonction de ce que tu écoutes. C'est gratuit. Le livre est en cours de rédaction. [00:02:53] Donc, le livre, tu ne l'auras pas accès en entier. Par contre, en échange, ce que je te propose, c'est de me partager ton feedback. Est-ce que tu as compris ou pas compris ? Il y a des parties que tu aimerais voir. Voilà, c'est une interaction. Et l'idée, c'est de rendre le livre encore plus complet, plus précis, plus pragmatique pour t'aider dans ton quotidien d'entrepreneur. Alors, premier point vraiment flagrant qui est obsolète dans notre manière d'entreprendre, c'est le trio « je n'ai pas le temps, je n'ai pas les compétences, je n'ai pas l'argent ». Et ça, aujourd'hui, c'est quelque chose qui ne marche plus. [00:03:26] Autant il y a une époque, disons 100 ans en arrière, ça faisait sens, parce qu'effectivement, tout le monde n'avait pas accès forcément à des ressources d'éducation et d'instructions, YouTube ou des bouquins, etc. Ça coûtait littéralement cher. Et puis, il y avait un problème d'accès. Quand tu habitais au fin fond de la campagne, il fallait peut-être trois jours à pied, à vélo ou à cheval, j'en sais rien, pour aller dans une ville et consulter des livres, par exemple. L'école coûtait cher. [00:04:06] Et il y avait une obligation, une urgence à approvisionner son foyer en argent pour pouvoir manger, tout simplement. Et donc, cette urgence-là faisait effectivement que la prise de risque coûtait très très cher. C'est-à-dire que le coût d'opportunité à lancer une entreprise, à investir des économies dans quelque chose qu'on ne connaissait pas, était tellement fort qu'on préférait rester au statu quo, c'est-à-dire ne rien changer et faire en sorte que ce qui est existant fonctionne. Sauf qu'aujourd'hui, en 2024, on a accès pour une bouchée de pain à la connaissance. [00:04:40] Je veux dire, contre un abonnement à Internet qui vaut quelques dizaines d'euros en moyenne, tu as accès à toute la science disponible sur Internet, tu as accès à des réseaux entrepreneuriaux, à des éléments de soutien flagrants. Avant, ce qu'il y a 100 ans, c'était c'était que l'élite qui avait accès à la chambre de commerce, des choses comme ça. Ce n'est pas vrai, exact, ce que je dis, mais en gros, c'était dédié à une certaine population ? Aujourd'hui, n'importe qui peut aller à la chambre de commerce ou à un des métiers, poser une question et il y aura une réponse fiable, pertinente. [00:05:11] Donc aujourd'hui, la notion « je n'ai plus le temps », « je n'ai pas d'argent » ou « pas d'argent » ou « je n'ai pas les compétences », c'est juste une chute, c'est une excuse pour ne pas aborder frontalement sa situation d'entrepreneur. [00:05:36] Entrepreneurs alors l'idée ici n'est pas de verser dans la culpabilité ah ouais mais non mais je suis nul parce que voilà ah mais non mais je suis trop bête franchement regarde j'ai pensé ça non c'est pas ça le débat le débat c'est juste de prendre conscience des vecteurs qui viennent limiter ton action entrepreneurial ces éléments de réflexion qui sont obsolètes on peut les avoir bien sûr au début de sa démarche entrepreneuriale quand tu fais une reconversion pro par exemple voilà lors de la création et bien sûr lors des phases d'accélération et en général c'est dans les phases d'accélération de croissance d'entreprise on va vraiment observer les éléments bloquants dans le dans la psychologie d'entrepreneur parce que c'est là qu'il sera vraiment créer des noeuds de ce qu'on appelle des goûts de tranglement dans le développement [00:06:05] et à faire les levées pour réussir à continuer à développer l'entreprise donc aujourd'hui on peut se préserver du temps un peu chaque semaine on peut apprendre à organiser son temps l'argent on peut faire des levées, il y a des levées de fonds, on peut faire du crowdfunding, on peut faire un emprunt, etc. Et puis honnêtement, aujourd'hui, on peut démarrer une entreprise juste pour quelques milliers d'euros. On n'a pas besoin d'avoir beaucoup, beaucoup d'argent pour lancer l'entreprise, même si ton concept est un concept industriel. [00:06:32] Parce qu'aujourd'hui, on va d'abord chercher ce qu'on appelle une proof of concept, c'est-à-dire prouver que l'idée est bonne. Et prouver une idée qui est bonne, c'est quoi ? C'est une page web éventuellement, c'est une enquête de terrain, c'est lancer des précommandes. Il y a vraiment plein de manières aujourd'hui de prouver que ton idée est pertinente et qu'elle intéresse du monde sur ton marché. [00:07:01] Et donc, une fois qu'on a la preuve de concept, qu'il y a une demande, qu'il y a un business model effectivement rentable à développer, bon ben là, on a un argument pour aller chercher des fonds. Et il y a plein de personnes autour de toi, que ce soit des particuliers comme des professionnels, qui sont prêts à prêter de l'argent, en tout cas à initier quelque chose. Et puis, on a les accélérateurs tels que Ben Stample, mais d'autres aussi qui aident à concrétiser le projet, notamment d'un point de vue financier. Et puis les compétences, on a accès partout sur Internet, on a accès aussi à des gens comme moi, un business mentor, des conseillers, des consultants, etc., qui ont une compétence, une expertise, et qui peuvent la partager. [00:07:32] On a accès à des réseaux entrepreneuriaux aussi, qui sont à plupart du temps gratuits, contre des participations tout à fait anecdotiques. Et donc, on a accès à la compétence entrepreneuriale. Ensuite, il y a un phénomène. Qui est lié au paradigme du XIXe siècle versus le paradigme du XXIe siècle. En bref, au XIXe siècle, comment tu faisais pour lancer un produit ? [00:08:02] Rejoins un peu ce que je disais il y a deux minutes, mais pour lancer, à l'époque, imagine que tu voulais fabriquer un stylo, par exemple ce stylo plume, imagine que tu étais fan d'écriture, et bon, il te fallait acheter du matériau, typiquement une usine ou un atelier, embaucher du monde pour fabriquer ça, acheter la matière première, fabriquer ton stylo, l'emballer, l'envoyer dans des boutiques pour le vendre. Et puis, six mois, un an plus tard, tu regardais, tu comptais le nombre de stylos que tu avais vendus. Et là, tu savais concrètement si ton produit fonctionnait ou pas, si tu avais la fameuse proof of concept ou non. [00:08:33] Et donc, sur cette période-là, tu as engagé beaucoup de temps, beaucoup d'argent, beaucoup de compétences, de ressources, pour ne pas savoir si ça allait fonctionner ou pas. [00:09:05] Ça, c'est le paradigme du 19e siècle versus le 21e siècle où justement, comme je disais tout à l'heure, tu peux lancer une page web ou une mini version de ton produit, aller la vendre, et là, si tu ressens un appel du marché, c'est-à-dire beaucoup de précommandes, beaucoup de commandes, beaucoup d'intérêts de la part d'une audience, beaucoup d'appels, beaucoup d'emails, ce genre de choses, on sent un appétit de l'audience, auquel cas, on a ce qu'on appelle une proof of concept, et donc là, on peut commencer à monter crescendo dans l'investissement ou alors monter carrément dans l'investissement en fonction des facteurs, etc. Chaque entreprise a une approche qui va être propre. Et il y a, donc ça c'est vraiment deux modèles antinomiques de manière de fonctionner, c'est pas que les deux, c'est pas qu'il y en a un qui est juste et l'autre qui est faux, c'est juste que l'approche du 19ème siècle ne correspond plus du tout à la manière de fonctionner aujourd'hui. [00:09:40] Aujourd'hui j'ai encore d'entrepreneurs qui viennent me voir qui ont fabriqué typiquement des potiers ou des peintres ou des artistes, des sculpteurs qui fabriquent une quantité innombrable de produits finis mais qu'ils n'arrivent pas à vendre et le problème c'est que ça immobilise du stock de matière première, de l'argent ça immobilise du temps qui n'a pas été consacré à autre chose, et puis surtout il y a un stock de produits invendables donc ça va prendre de l'espace dans l'atelier Il y a un faisceau, d'ailleurs, de conséquences en chaîne qui est majeur. Et à ça, il y a un autre problème. [00:10:14] C'est que, je ne vais pas me faire des copains en disant ça, mais typiquement, la CCI, la Chambre des métiers, d'autres organismes comme ça un peu institutionnels ou même des grandes assos qui sont liées à l'accompagnement des entrepreneurs délivrent un conseil, malheureusement, qui est basé sur des réflexions du 19e siècle. [00:10:43] Donc typiquement, si tu as déjà été au contact avec la chambre de métier ou la chambre du commerce en industrie, on t'a rarement parlé de stratégie d'email, on t'a rarement parlé de stratégie de marketing, on t'a pas parlé de comment optimiser le référencement sur Google et pourquoi c'est intéressant, etc. La seule chose qui les intéresse, c'est vendre leurs produits, vendre leurs formations. Donc là, il y a un enjeu un peu, comment on appelle ça, il y a un peu un biais là-dedans. Il y a un peu un aspect de lobbying, d'orientation, de conseil orienté. Voilà, c'est la chambre des métiers, typiquement, la chambre du commerce, et c'est des mastodontes avec une inertie politique très lourde. [00:11:15] Et ils n'ont aucun intérêt à te conseiller des techniques trop modernes pour deux raisons très simples. C'est un, ils n'en ont pas conscience. Et deux, ils ne peuvent pas y répondre. C'est leurs concurrents, des gens comme moi, qui y répondons. Donc forcément, ce n'est pas dans le sens de leur business. Et donc du coup, la conséquence, c'est que le conseil, d'ailleurs, n'est pas complètement pertinent. Il va être baisé, etc. L'entrepreneur, d'ailleurs, va nourrir une frustration, ainsi de suite. [00:11:55] Alors, un exemple de conseil, enfin, pas vraiment de conseil, mais d'approche 19ème versus une approche du 21ème. Ça, c'est une chose que tu retrouves dans le livre que je t'invite à télécharger sur visastemple.co. Tu as le lien sous la vidéo. Typiquement, lors de nos reconversions professionnelles. Ça dépend bien sûr de quel domaine tu es, mais très souvent, c'est vu comme une prise de recul, comme un échec, comme un mouvement en arrière dans ta vie. Au 19e siècle, c'était comme ça qu'on voyait une reconversion. [00:12:31] Alors que finalement, c'est une manière aujourd'hui courante de voir ça comme une opportunité, comme construire une croissance personnelle, de renouvellement, de se recentrer sur soi et ce qui est vraiment important pour soi, etc. Par exemple... [00:13:03] Au genre de manière du 19ème siècle pour atteindre des clients on faisait la pub dans la presse, à la radio à la télévision, c'était plus ou moins les trois canaux principaux qui existaient, aujourd'hui on a Facebook, on a Google AdWords on va avoir le référencement naturel, on va avoir les partenariats les stratégies de vente croisées on est vraiment sur des approches bien plus larges et très souvent bien moins coûteuses que de la presse de la radio ou de la télévision, voilà, ça c'est des choses que je peux te dire après je peux en parler, je suis un tarissable sur le sujet, mais pour finir, c'est une image vraiment qui part à tout le monde, pour comprendre cette notion de conseil obsolète, d'obsolescence. [00:13:28] Sur notre manière d'approcher le business c'est celle du pont du Gard tu connais le pont du Gard, c'est un aqueduc, qui a été construit il y a 2000 ans par les Romains pour alimenter la ville de Nîmes en eau et donc il y a un parcours, je ne sais plus combien de kilomètres on va dire quelques-unes de kilomètres qui partent de usès magnifique ville à visiter ce qui connaît pas et qui va à animer et donc il ya cet aqueduct qui est de millions qui a été construite juste pour transporter de l'eau ok et donc et donc bon ben certes il ya deux mille ans cet aqueduct était majeur c'est une innovation c'était quelque [00:13:53] chose de fantastique pour pouvoir approvisionner la ville de nîmes en eau sauf que aujourd'hui ça serait complètement obsolète de continuer à l'utiliser alors que la pompe le tuyau existe parce que tu vas offrir beaucoup moins de pertes et de gaspillage d'eau la pompe va avoir une propulsion beaucoup plus forte extra par rapport on peut discuter d'appartenance à peu plus de la pollution peut être engagé par la pompe la consommation électrique extra extra ça on peut [00:14:33] en débattre si tu veux là il n'y a pas de débat c'est que si tout le monde veut fonctionner de nouveau avec des canaux de transport d'eau des des aqueducts, etc., on n'aurait pas toute l'eau qu'on aurait besoin dans nos villes aujourd'hui. Mais ça, il ne s'agit pas de le prendre au premier degré, il s'agit de repérer l'obsolescence qu'il y a dans l'approche d'un parvenu par rapport à un autre. Maintenant, j'aimerais te parler des mythes entrepreneuriaux, ces sujets que je retrouve régulièrement dans mes sessions de conseil. Par exemple, tu ne sais pas faire, tu n'as pas les compétences. [00:15:02] Un entrepreneur aime la compétition, il doit écraser ses concurrents. Ou alors, il faut avoir une bonne idée pour créer une entreprise. Un entrepreneur aime le risque. Il doit jouer avec le feu continuellement. Un entrepreneur est un super-héros. Il faut être jeune pour entreprendre. Il faut être grand parleur pour vendre. Les entrepreneurs n'ont pas de vie privée. L'argent est la seule motivation des entrepreneurs, etc., etc. Ça, ce sont des mythes, d'accord ? [00:15:35] C'est-à-dire que ce sont des idées préconçues, ce sont des procès d'intention, ce sont des jugements, ce sont des postures inadéquates au regard de l'entrepreneuriat. Il y a certes des entrepreneurs qui sont très orientés sur l'argent, d'autres très orientés sur la célébrité, d'autres, effectivement, qui sont workaholics et qui investissent toute leur énergie dans leur travail et dans leur entreprise, etc. Mais ce n'est pas la manière unique d'être entrepreneur. [00:16:08] Il y a des manières d'entrepreneur d'être beaucoup plus équilibré, beaucoup plus en paix avec soi, beaucoup plus dans l'écoute de son corps, de son cœur, de son âme, de son foyer, des dynamiques qui sont autour de soi, etc. Et ça, moi, c'est une entreprise du XXIe siècle. C'est-à-dire qu'on n'a pas besoin, comme mon père, de faire 80 heures par semaine. Mon père a été agriculteur. On peut, au contraire, avoir une approche entrepreneuriale qui est beaucoup plus respectueuse. Alors, est-ce qu'il y a des moments où il faut travailler beaucoup ? Oui, évidemment, mais on peut aussi développer une approche entrepreneuriale qui soit beaucoup plus liée à l'équilibre qu'à la réponse de ces stéréotypes. [00:16:46] Le problème de ces stéréotypes il est, on va dire un point principal, c'est qu'il va venir formuler une forme d'injonction, une, obligation rigide auquel on va penser peut-être devoir se plier se conformer, et évidemment quand on se conforme à une règle qui n'est pas la sienne, elle va générer de la souffrance, de la souffrance parce que il faut que je sois riche, regarde je suis encore pauvre regarde là tu roules dans une super Ferrari Donc là, comparaison externe, c'est de la souffrance. [00:17:15] Ou alors parce que tu n'arrives pas à avoir l'apport financier nécessaire pour vivre ou pour financer ton business. Du coup, ça génère plein de complexes, plein de bordels dans la tête. Donc, ce n'est pas pertinent. Donc, ça va générer du stress et de l'anxiété. Ça va générer une perte de l'identité personnelle. Parce qu'on croit qu'il faut gagner du pognon quand on est entrepreneur. Non, il y a des entrepreneurs qui gagnent juste modérément leur vie, puis tout le reste des bénéfices est laissé dans la boîte ou transformé en d'autres projets. Et bien sûr, ça génère de l'épuisement. [00:17:46] Techniquement, de l'épuisement mental et in fine, du burn-out. Voilà. Donc, dans le livre, je te propose un outil concret pour justement déjouer les mythes entrepreneuriaux. Il y a cinq questions qui permettent de les identifier, parce qu'on a tous nos propres injonctions et mythes qui sont encore en nous, il s'agit de les identifier et puis progressivement de réinventer son modèle. Quatrième point que je voulais aborder avec toi, ce sont les injonctions sociales. [00:18:19] Alors l'injonction sociale, c'est par exemple, il faut travailler sans relâche pour mériter le succès, la prospérité est le reflet de la vertu, si tu n'es pas constamment occupé, tu n'es pas assez productif, Tu dois installer un hôtel de prière dans le magasin, c'est pour les bédistes, les hindouistes, etc. Sois bon, observe le Shabbat pour la communauté juive. Ne montre pas trop ton bonheur ou ton argent, c'est sale et insultant. Ensuite, par exemple, il faut maximiser les profits parce que c'est l'objectif ultime. Être constamment compétitif est essentiel. La croissance est le seul indicateur de succès. Le profit justifie tous les moyens. [00:18:48] Ou alors, il faut travailler dur pour réussir. Il faut se tenir droit à table et ne pas mettre les coudes sur la table je dois me présenter aux conférences en costume avec cravate ou en tailleur pour une femme le succès t'atteint uniquement par des voies conventionnelles l'échec est synonyme d'infamie etc. [00:19:17] Ça ce sont des injonctions c'est-à-dire c'est des jugements c'est une manière d'aborder un contexte de situation avec un prisme un prisme bien sûr là qui est négatif et qui donc l'injonction, ce qu'il veut ça peut être un dogme, ça peut être un paradigme ou un héritage culturel, dans tous les cas, c'est quelque chose qui ne te correspond pas directement. Ce n'est pas toi. C'est quelque chose qui vient de la société, que tu as appris. Et malheureusement, c'est tellement insidieux qu'on les met en œuvre par défaut. On n'a que ça comme modèle. Et tant qu'on ne les a pas identifiés, déconstruits, choisis éventuellement, ou rejetés pour mettre autre chose à la place, eh bien, on est habité par ça. [00:19:44] Et typiquement, moi, j'avais pendant très longtemps deux phrases typiquement que mon père m'avait dit. On ne vit pas d'amour et d'eau fraîche. Ou alors, comme vous voyez, mon père faisait 80 heures par semaine, mais moi, quand j'en faisais beaucoup moins, je me disais, putain David, en fait, tu ne fous rien, tu es une grosse feignasse. Vraiment, tu vois, et ça, c'est deux injonctions. Alors, ce n'est pas en train de faire un procès à mon père, j'ai juste identifié, tiens, si on peut vivre d'amour et d'eau fraîche, en fait. [00:20:04] Qu'est-ce que ça veut dire vivre d'amour et d'eau fraîche ? Ça veut dire que, ah, on ne peut pas vivre d'amour et d'eau fraîche. Ça veut dire que, c'est quoi ? L'amour, ce n'est pas quelque chose de constructeur ? [00:20:32] Ça veut dire que c'est pas quelque chose qui peut être porteur moi je pense au contraire qu'on peut vivre d'amour et d'eau fraîche et que en fait tout le phénomène de capitalisme de productivisme c'est lui en fait qui t'a questionné, c'est pas le fait d'être nu au bord d'une cascade et ça en plus c'est une image un peu utopique parce que bon en hiver ici t'es pas nu au bord d'une cascade bon il faut aller faire du bois pour chauffer ta maison, mais tu vois il faut faire du bois pour chauffer ta maison, ça c'est déjà une injonction, donc être attentif à tous ces éléments de vocabulaire, parce que ces éléments de vocabulaire vont nous donner un indice, important sur qu'est-ce qui t'appartient et qu'est-ce qui ne t'appartient pas. [00:21:00] Et quand on est capable de faire ce distinguo-là, on peut mieux arbitrer des choix, des choses qu'on veut laisser rentrer dans sa maison, et des choses qu'on ne veut pas dans notre vie, parce qu'on estime que ça nous consomme plus d'énergie que ça nous apporte de bonheur, d'enthousiasme, de joie, etc. Parce que c'est ça le sujet, au final. Là, on parle de souffrance corporelle, on parle des choses que tu t'obliges inconsciemment ou consciemment à suivre. Pour répondre à un phénomène social qui ne t'appartient pas. C'est comme quelqu'un qui gagne beaucoup d'argent doit avoir une belle bagnole, une belle voiture. C'est une injonction sociale. [00:21:31] Or, toi, tu as juste envie de rester simple, de rester sobre, même si tu gagnes un million d'euros de salaire par mois. Parce que toi, tu as estimé que finalement, ton plaisir à toi, ce n'est pas d'avoir une grosse bagnole, c'est juste d'être entouré des personnes que tu aimes et filer ton pognon à des œuvres qui te sont pertinentes, à d'autres projets, investir directement dans l'immobilier, que sais-je. Donc, bien sûr, les rôles, pardon, les injonctions sociales ont un rôle, parce que tout ce qui existe dans nos vies a une fonction, et la fonction de l'injonction sociale, j'y ai arrivé, c'est de soutenir et de guider les comportements en société. [00:22:07] Donc, c'est une bonne chose à la base, ok ? Donc, ça permet, de codifier comment on interagit entre nous. [00:22:38] et il y a des bénéfices bien sûr à cette déferte des injonctions sociales donc plus précisément comme gagner en autonomie en authenticité, développer sa satisfaction personnelle libérer la créativité, la résilience, des relations humaines plus authentiques et bien sûr un bien-être mental ce qu'on appelle la charge mentale en gros puisque je n'ai plus à répondre, il faut être riche machin donc quand je suis riche je dois faire ça on commence à se foutre la paix et à donner notre énergie là où on le souhaite. Et pareil, dans le livre que je te propose, il y a des outils, des questions clés à se poser pour identifier les injonctions sociales et une manière aussi de les déconstruire de manière paisible, parce qu'il ne s'agit pas d'installer le bazar dans ta tête finalement à tout déconstruire d'un coup et puis se retrouver un peu en vrac. [00:23:11] Non, il s'agit d'aller progressif, c'est une manière introspective de questionner qu'est-ce qui se passe dans nos vies et de passer progressivement aux éléments qui nous créent de la souffrance, de l'épuisement, de la charge mentale d'un boulet à tirer vers une situation entrepreneuriale qui soit paisible, qui soit vraiment alignée sur l'amour et la contribution, sur quelque chose d'authentique, de congruent aussi. Aussi, c'est un mot que j'aime bien utiliser, être congruent entre ce qu'on a envie vraiment, dans son âme, dans son cœur, et ce qu'on met en œuvre comme acte. Et ça, je trouve que c'est les plus belles stratégies d'entreprise, c'est quand on est vraiment congruent. [00:23:33] Et d'ailleurs, je pense qu'on a beaucoup plus de chances de réussir l'entreprise quand on est congruent entre ses valeurs et ce qu'on fait dans son business, que quand on accepte des injonctions ou ce qu'on pense être obligatoire dans le business. Typiquement, un entrepreneur, j'ai déjà eu des cas comme ça, un entrepreneur qui importe des produits de Chine, Alors, la Chine, ce n'est pas le problème. Là, c'est le problème du produit qui n'était vraiment pas costaud, qui pétait rapidement. Donc, il y a vraiment une obsolescence programmée. [00:24:04] Et du coup, il était content de vendre ce produit parce qu'il savait qu'il répondait à un problème. Mais derrière, il y avait en parallèle ce truc de « Putain, ça m'ennuie vraiment de vendre ce produit-là » parce qu'il casse, il ne vaut rien. Il y a un bug de qualité. Et je sais que les gens reviennent vers moi pour en racheter. Alors, voilà. Donc, je pense que c'est très important d'être très au clair sur les approches business qu'on va avoir, la congruence. Et c'est comme ça que moi, avant, tu sais, j'étais commerçant dans l'informatique. J'ai lancé plus de 15 business dans ma vie. [00:24:30] Et typiquement, quand je vendais des imprimantes, je voyais que les imprimantes de marque Epson étaient tout le temps en panne. C'est celles qui généraient le plus de demandes de SAV, donc d'assistance client, etc. Et parfois, j'avais vraiment des clients qui sortaient avec le carton de l'imprimante sous le bras. Et deux heures après, quand c'était chez eux qu'ils cherchaient l'installé, il y avait déjà un problème. Ils n'arrivent pas à faire un truc, compagnie. [00:25:02] Donc, du coup, j'ai pris une décision, j'ai arrêté de vendre des imprimantes obsolètes, tout simplement, et j'ai vendu leur concurrent, qui était Brother, et qui était, à l'époque, je ne sais pas si c'est toujours le cas, mais qui était vraiment le concurrent le plus cool vis-à-vis de l'absence programmée des imprimantes. Voilà. Donc, on a vu la manière d'entreprendre obsolète, le paradigme 19e, 29e siècle, on a vu les mythes toxiques pour l'entrepreneuriat, on a vu les injonctions sociales, Il nous reste un dernier point à aborder, qui est celle des compétences. [00:25:37] Et aujourd'hui, on a une manière pareille, qui est complètement dépassée pour comment on aborde la compétence à l'école. On te dit, tant que tu n'es pas assez bon dans tel domaine, bosse dessus. Tu n'es pas bon au français, bosse sur le français. Tu n'es pas bon en maths, mets le focus sur les maths. Et ça, c'est un problème majeur. C'est que, un, ton cerveau va apprendre à se concentrer là où il n'est pas bon. Et donc, il va ignorer ou ne pas valoriser ou ne verra pas assez les endroits où, au contraire, tu es excellentissime, des endroits où tu es vraiment très très bon. [00:26:12] Et d'autres endroits où tu es juste bien, mais c'est génial d'avoir ces compétences-là. Donc déjà, il y a un problème d'où est-ce qu'on met le focus. Et bien sûr, ça va générer tout un faisceau psychologique qui va être néfaste. Je ne suis pas bon à ça, je n'ai pas la compétence, je ne suis pas à la hauteur, je ne peux pas y aller parce qu'il faut être bon comptable pour être entrepreneur, machin. [00:26:43] Et du coup, on va encore cristaller davantage, cristallisé sur là où je suis pas bon plutôt que mettre l'attention là où je suis bon et pourquoi c'est un problème parce que l'entrepreneuriat on a toujours toujours même entreprise qui cartonne a toujours des points faibles des lacunes des manquements en termes de compétences etc mais pourquoi l'entreprise a réussi à se développer parce qu'elle se focalise là où elle est excellente et ça a un nom en business ça s'appelle un avantage compétitif. [00:27:15] Et juste si je me focalise sur la personne de l'entrepreneur, tu vois, l'entrepreneur, l'entrepreneur qui gère son projet, si au début tu te concentres sur des points forts, par exemple, tu vas être excellent dans tel domaine, vraiment très compétent dans tel domaine, très très bon dans tel domaine, on a là typiquement l'essence qui va nous permettre de générer de l'enthousiasme, de la joie, d'initier des premières ventes, ou au contraire de les développer, etc. Et il y a aussi un truc très intéressant pour schématiser cette situation là. [00:27:49] Si je fais une ligne droite et que ici typiquement je mets tous mes points faibles les points de non excellence les points où je mets ce qui me rend mauvais et que ici je mets les points que je pense être bons et que là je mets la zone d'excellence dans laquelle je veux aller et bien la distance pour transformer un point faible en un point d'excellence est beaucoup plus long que pour transformer un point de compétence en un point d'excellence. Donc, c'est pour ça que c'est beaucoup plus intéressant et de très loin de se focaliser sur ces points de qualité, même si je pense à ce moyen, parce que c'est beaucoup plus rapide de les transformer en point d'excellence qu'à un point faible de les transformer en point d'excellence. [00:28:21] Et typiquement, un entrepreneur qui veut faire un blog pour développer du référencement naturel Sous-titrage Société Radio-Canada, pour sa boutique en ligne par exemple, va pouvoir se mettre à fond sur l'écriture s'il aime l'écriture. Si tu n'aimes pas écrire, ne fais pas de blog ou alors ton blog, tu vas le faire par une stratégie de podcast, une stratégie de vidéo. Si au contraire, tu détestes le contenu, que ce soit vidéo, écrit, etc., quels sont tes atouts en termes de communication ? [00:28:52] Peut-être que tu vas me répondre, moi, écoute, je suis très, très bon en présentiel. Vraiment, quand je suis derrière un stand, une foire, un salon, etc., franchement, je suis très à l'aise, j'adore ça. Bon, OK, on va mettre notre focus sur le contact en direct. Et au contraire, d'autres personnes vont être très intimidées par du salon. Par contre, elles vont être très confortables, par exemple, à la radio. Alors, OK, on va mettre notre focus sur la radio. [00:29:25] et donc c'est ça tout l'intérêt de bien identifier ces points on va dire de non-excellence versus ces points où on a déjà des aptitudes vraiment développées, les points d'excellence pour mettre le paquet sur là où on a déjà des aptitudes et ça c'est le paradigme du 21ème siècle parce qu'on se focalise sur là où on a déjà des compétences versus là où l'école nous obligeait à nous concentrer sur nos points de non-excellence on n'avait pas d'appétence, on n'avait pas d'appétit à aller. [00:29:58] Et il y a un facteur d'ailleurs sous-jacent, c'est que quand je vais davantage sur les points d'excellence et où les points, j'ai déjà des compétences, des bases de compétences, eh bien, j'ai probablement beaucoup plus d'aptitudes à générer de la joie, de l'enthousiasme, autrement dit, le cocktail du bonheur. J'ai fait un podcast dédié à ça. Donc, des éléments neurochimiques, physiologiques, mentaux, psychologiques, de cœur, d'âme, qui vont me porter, qui vont me booster, et qui vont me donner une énergie de malade pour justement réussir à développer mon business. Voilà. Et donc, on en termine pour cet épisode sur comment notre manière d'entreprendre est obsolète. Je t'ai exposé tous ces cinq points. [00:30:22] Je t'invite à aller vraiment plus loin en téléchargeant ce guide. Enfin, même pas ce guide, c'est un livre, excuse-moi. La psychologie d'entrepreneur, les mécanismes cachés de l'échec et de la réussite. C'est un livre qui est encore en cours d'écriture. Tu as accès gratuitement. En échange, je te propose de me donner ton feedback Qu'est-ce que tu en penses ? Qu'est-ce que tu manques ? Qu'est-ce que tu n'as pas compris ? Qu'est-ce qui t'aide vraiment ? Moi, ça va m'aider à étoffer le livre et le rendre encore plus pertinent pour les entrepreneurs et les entrepreneurs que vous êtes. Merci à toi. [00:30:34] Tu as le lien autour de la vidéo pour pouvoir accéder à ces documents, ces questions, quoi que ce soit. Sont-ils libres d'interagir avec moi ? Merci. Excellente continuation.
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